Si elle ne veut pas être la cause du mal qu’elle soigne, la thérapie doit se limiter à soulager la souffrance; elle ne peut prendre pour objet la quête du bonheur. Nous comptons sur l’aspirine pour apaiser nos migraines, pas pour nous donner aussi des pensées géniales ni même pour prévenir des migraines futures. Au fond, il en va de même pour la thérapie dira Watzlawick.
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